« Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours existé » A. Shopenhauer

POUR LA PREMIERE FOIS, une présentation officielle à haut niveau d’une grande découverte archéologique au PEROU.
La conférence du 19 novembre 2018 à LIMA – PÉROU
au Congrès de la République Péruvienne à l’initiative du député Armando Villanueva
Avec vidéos des exposés traduites en français !
https://www.the-alien-project.com/momies-de-nasca-josefina/
https://www.the-alien-project.com/momies-de-nasca-victoria/


Photo : de g à dr ( Conférence de Presse) : José de la Cruz Rios – Mexique (Biologiste) – Thierry Jamin – Cusco (Archéologue Historien Géographe) – Dr Salas Alfaro (Docteur en Radiologie et Scanners) Cusco Pérou – Le Congressiste A. Villanueva (Pérou) – Dr José Salce Benitez (Expert en Médecine Légiste Armée Mexicaine – Mexico) – Clara Martinez (Dr en neurosciences et épi-généticienne) – Dimitri Galedki – (Médecine faciale université de St Petersburg – Russie)
Sous l’égide du congressiste Armando Villanueva auteur du projet de loi pour la PRESERVATION OFFICIELLE des momies de Nasca, une présentation officielle des résultats d’analyses au Congrès de la République du Pérou a eu lieu LE 19 NOVEMBRE 2018 à 9h (Pérou) et 15h (France) avec les célèbres journalistes Jois Mantilla, de Lima, et Jaime Maussan, de Mexico, son équipe de Tercer Milenio, et l’équipe nord-américaine de Gaia.com. La présentation officielle des derniers résultats ADN, C14, histologiques, tomographiques, etc. seront diffusés en direct depuis le Congrès de la République du Pérou, en streaming, en langue ESP sur la chaîne Tercer Milenio et en français sur la chaîne WEB Nurea TV. Une conférence de presse a suivi cette présentation.
A cette occasion, tous les résultats des analyses ont été présentés : Les métaux, l’histologie, les datations C14, les analyses ADN, les scanners HD, etc…par les scientifiques et intervenants internationaux sur cette affaire historique; Après deux ans de travail acharné de la part de tous ces chercheurs, le moment est venu de faire connaître au monde cette découverte extraordinaire. Mais les analyses continuent pour aller encore plus loin dans cette affaire… !
La présentation des résultats
La Conférence de Presse
Le debriefing
Pétition « Momies de Nazca »
Le 19 novembre 2018 ont été présentés au Congrès de la République du Pérou, les résultats des analyses effectuées sur des corps d’êtres tridactyles, trouvés à Nazca (Pérou), appartenant à deux espèces et caractéristiques non humaines. Les résultats de l’analyse de l’ADN ont montré qu’il n’y a pas d’êtres similaires sur Terre. Les images de la structure physique des créatures selon les scientifiques qui les ont analysées ne ressemblent en rien à ce que l’on sait et les tests au carbone 14 ont donné un âge de 1000 ans et de 1780 ans. Nous demandons au gouvernement et au Congrès de la République du Pérou d’enquêter sur ces organismes au sein des universités et du ministère de la Culture du Pérou.
Iconographie du Pérou – montrant un être à 3 doigts et ses côtes et un condor

LES RÉSULTATS DES ANALYSES DE JOSEFINA
Par le DR JOSE DE LA CRUZ RIOS – Mexico – Biologiste – Secrétariat de la Santé – Campeche
Mexique – Recherches en microbiologie

(suite à la conférence au CONGRES DE LA RÉPUBLIQUE DU PÉROU le 19 novembre 2018)
Source photos scanners HD et tous les résultats ICI : the-alien-project.com/resultats-analyses

•Être tridactyle – •D’une taille de 58,50 cm – •Type humanoïde
Pas de dentition – Mais un système évolué de déglutition
•La déglutition passe par un canal derrière la colonne vertébrale
•Crane à morphologie unique (Yeux, nez) •Ses yeux lui permettaient très vraisemblablement une vision à 180°


Appareil reproducteur complet et cohérent.
•Par un cloaque, on accède au vagin où se trouve le col de l’utérus, qui est relié à l’intérieur de l’utérus, puis par un allongement ou un oviducte, on trouve l’infundibulum où l’ovule est libéré dans la cavité abdominale, pour atteindre sa maturité et ensuite être expulsé par son passage dans le vagin et par le cloaque.



•Il y a 3 œufs de taille variable (27, 34 et 25 mm) et dont la forme symétrique est caractéristique des reptiles.

•A l’intérieur on observe un conglomérat de matériel en état de calcification, sans développement embryonnaire, comme chez la plupart des reptiles quand la ponte des œufs a lieu.
Un quatrième œuf en développement (le point blanc au bout du conduit ovarien en violet)


Un EMBRYON dans l’un des oeufs de Josefina !


•Présence d’un œuf d’environ 2,5 mm de diamètre au stade initial de développement, situé dans le canal ovarien de la cavité abdominale gauche. Ce qui indique qu’il était dans un état actif de reproduction.

Disque cervical triangulaire pas commun avec l’homme (rond)
•La clavicule est typique des oiseaux ou des dinosaures
9 paires de côtes, plus 2 côtes flottantes

•Absence d’omoplates
Mains de 3 doigts comprenant 4 phalanges

•Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges
•La main est composée d’un os carpien et de 3 doigts. Chacun d’eux ayant 3 phalanges se terminant par une griffe aplatie.
•Cette caractéristique tridactyle (3 doigts) est propre aux théropodes (dinosaures éteints).
•Pied tridactyle. L’épiphyse inférieure de l’os de la jambe se rétrécit dans sa partie médiane et sert de plante de pied avec un os à caractère creux, il n’y a pas d’os propre au pied.
•La morphologie du pied de ce spécimen rappelle en similitude celles de l’oiseau appelé casoar.
Ascendance commune
Joséphina ne correspond pas dans son origine biologique à une ascendance commune d’espèces connues.
Mais il y a quelques relations anatomiques analogue avec les mains des dinosaures vélociraptors éteints, et avec des Archéoptéryx (un genre de dinosaures à plumes disparus).
Implant métallique de Josephina

Cet échantillon est composé en majorité de cuivre métallique (85% massique en moyenne pour les zones les plus pures), dont l’altération partielle est observée à travers la formation de produit d’oxydation comme la cuprite ou la ténorite, ou de minéraux d’altération comme l’atacamite ou la brochantite. Ce cuivre contient par ailleurs des impuretés (fer, soufre, …), qui pourraient être caractéristiques du minerai dont a été extrait le cuivre utilisé pour la conception de l’implant. Ces impuretés pourraient également donner des indications quant au mode d’extraction employé, notamment à travers la présence de soufre (extraction possible à partir de sulfures type chalcocite).

Les concentrations de soufre et de chlore caractéristiques des produits d’altération observés tels que l’atacamite pourraient indiquer une altération ayant opérée dans un lieu à l’atmosphère riche en chlore et/ou en soufre, tels qu’un environnement côtier ou volcanique, ou dans un environnement pollué (usine, gaz d’échappement).
On observe également pour cet échantillon une signature chimique minérale (carbonate, silicates, sels), qui peut être la conséquence d’un apport exogène (gangue qui enveloppe l’implant) ou de cristallisations in situ à la faveur de certaines conditions.
Cet échantillon est tout à fait concordant en termes de composition chimique (cuivre dont la pureté perfectible est tout à fait compatible avec les méthodes de raffinage connues et accessibles à l’époque) avec un objet d’époque précolombienne.
Par ailleurs, les produits d’oxydation et d’altération observés mettent en jeu des processus lents et contribuent ainsi à corroborer l’ancienneté de l’objet dont est extrait l’échantillon, sous réserve que celui-ci n’ai été exposé à environnement très agressif (pollution atmosphérique).
La signature minérale observée irait également dans ce sens, en cas de cristallisation in situ (processus lent).
Source du texte : grepp-paranormal